Conduire dans Paris, c'est une question de vocabulaire.
Dans la flatterie, aucune précaution à prendre, aucune limite à respecter. On ne va jamais trop loin.
Dans la vie on partage toujours les emmerdes, jamais le pognon.
Faut pas parler aux cons, ça les instruit.
Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière.
Il vaut mieux s'en aller la tête basse que les pieds devant.
Je me suis rendu compte que j'avais pris de l'âge le jour ou j'ai constaté que je passais plus de temps à bavarder avec les pharmaciens qu'avec les patrons de bistrot.
Je suis ancien combattant, militant socialiste et bistrot. C'est dire si dans ma vie j'ai entendu des conneries.
L'alcool ne procure pas la gaieté mais la cirrhose.
L'avarice est le pire défaut qui existe, si on compte ses sous, on compte aussi ses sentiments.
L'idéal quand on veut être admiré, c'est d'être mort.
La démocratie est le pire des régimes, à l'exception de tous les autres.
Le bonheur on s'y fait, le malheur on ne s'y fait pas, c'est ça la différence.
Les conneries c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer.
Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.
Pendant douze ans on a fait chambre commune mais rêve à part.
Pourquoi certains n'auraient pas tout? Il y en a qui n'ont rien. Ca fait l'équilibre.
Votez à droite c'est soit pour préserver la société soit pour écraser l'ouvrier.
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